Belle-Île-en-Mer, la plus vaste des îles bretonnes, ne se contente pas de séduire ceux qui la visitent.
Elle retient, inspire, transforme. Certains y naissent, d’autres y reviennent, d’autres encore y trouvent un nouveau souffle — tous, à leur manière, participent à l’âme de l’île.
Elle retient, inspire, transforme. Certains y naissent, d’autres y reviennent, d’autres encore y trouvent un nouveau souffle — tous, à leur manière, participent à l’âme de l’île.
Entre vent et lumière, cette terre de contraste abrite une population d’environ 5 000 habitants, faite de visages, de gestes et d’histoires singulières.
Au-delà de la carte postale, nous sommes allés à leur rencontre, lors de deux séjours, en 2018 et 2019, dans le silence des saisons calmes, lorsque l’île retrouve son rythme profond.
Au-delà de la carte postale, nous sommes allés à leur rencontre, lors de deux séjours, en 2018 et 2019, dans le silence des saisons calmes, lorsque l’île retrouve son rythme profond.
Chaque rencontre s’incarne en trois images :
un portrait, un objet symbole de leur quotidien, et un paysage ou lieu cher à leur regard.
Ces triptyques photographiques dialoguent avec des textes poétiques, écrits comme des échos intérieurs à ces vies insulaires.
un portrait, un objet symbole de leur quotidien, et un paysage ou lieu cher à leur regard.
Ces triptyques photographiques dialoguent avec des textes poétiques, écrits comme des échos intérieurs à ces vies insulaires.
À travers ces fragments d’existence, se dessine un visage collectif : celui d’une île vivante, humaine, multiple.
Des femmes et des hommes qui ont conjugué, conjuguent et conjugueront encore le verbe “être” à Belle-Île-en-Mer.
Des femmes et des hommes qui ont conjugué, conjuguent et conjugueront encore le verbe “être” à Belle-Île-en-Mer.
